Je n'aime pas contester le Prix Nobel. Surtout celui de Physique, de Chimie ou encore celui de Médecine. Et à cause de cela, je préfère ne pas évoquer les Prix Nobel d'Economie, de Littérature ou celui dit "de la paix" ...

Cette année, la lauréate du Prix Nobel de Médecine n'emporte pas mon adhésion et encore moins mon enthousiasme.

D'ailleurs l'article alambiqué du New York Times démontre que même pour la presse officielle du régime occidental, il y a ... "comme un défaut". Oh, ce serait aller un peu loin que de dire que the Times serait critique de la décision du Comité Nobel ! Mais, il faut reconnaître que, d'habitude, la presse officielle décrit d'un ton compassé, faussement mesuré, la teneur des travaux du lauréat. Ici, on va bien vous parler du "vaccin". Mais, vous n'aurez aucun détail, ni sur sa composition, ni sur les travaux qui ont conduit à son développement.

Par contre, l'auteur de l'Article du New York Times s'attarde sur le défaut de reconnaissance de la lauréate et sur les échecs innombrables qu'elle aurait eu à affronter. Sur le reste, pas un mot. Le journaliste essaye de dater le début de ses travaux. Mais c'est très flou, peut être 1989 ? Cette date "ancienne" sert en fait à instiller deux idées dans le public qui ont déjà été agitée ces dernières années durant la Covid.

La première idée, c'est que les développeurs du vaccin ARN travaillaient depuis des années à ce vaccin Covid, ce qui explique qu'il aurait été rendu disponible au public en moins d'un an ... Aussi si Karico commence ses travaux vers l'an 1989, cela laisse de la marge pour soutenir l'idée que le vaccin Covid est un vaccin "abouti", présentant toutes les garanties d'efficacité et de sécurité que la Médecine impose à ses traitements !... Si vous croyez la propagande, vous avez été trompé.

La deuxième idée, surtout par le choix de l'année 1989, c'est que Karico a inventé la technique ARN messager pour vacciner les populations. Or, cette idée est fausse. L'inventeur des techniques génétiques pour produire des traitements à base d'Adn ou d'Arn est un autre médecin, Robert Malone, qui avait complètement développé la technique dès l'année 1986 [2]. Or, Malone, après s'être fait vacciné, et analysant les données progressivement publiées concernant le "vaccin Covid-19" qui "vaut le Prix Nobel" à Karico, est devenu un adversaire résolu de ce "vaccin Covid" que, à la suite de beaucoup d'autres scientifiques, médecins ou biologistes, il considère comme un produit dangereux et inefficace [3].

Or, la presse officielle du régime occidental a "réglé son compte" au Dr Malone depuis longtemps [4]. Et il l'a effacé des "tablettes" des inventeurs méritants. Au motif "convaincant" qu'il est un adversaire du "vaccin Covid". La teneur de l'article du New York Times, et je n'en doute pas, du reste de la presse officielle, faisant silence sur les réels efforts de Malone, et encore moins sur les terribles défauts du "vaccin Covid" qui valent son douteux Nobel à Mdame Kariko.

En réalité, le succès de Madame Kariko est un succès commercial. Elle a fait développer son vaccin par une firme allemande, Bio N'Tech, dans des conditions extrêmement troubles. Et cette société a vendu l'exploitation commerciale du vaccin Covid à la firme Pfizer animée par l'hyper-milliardaire Bill Gates. En réalité, le succès du "vaccin Covid" ne doit pas grand chose aux efforts certainement très grands de Madame Kariko, mais tout à la volonté de puissance de Bill Gates qui fait le meilleur de la valeur de son Prix Nobel. Dans un tweet, Robert Malone rappelle opportunément que l'Institut Nobel qui a décerné le prix à Kariko, est grassement financé par ... Pfizer !

Quid des autres "vaccins Covid", comme celui de Moderna ? Qui a attaqué en contrefaçon de ses brevets [5] la firme Pfizer. La firme qui vend le "vaccin Covid" qui vaut son Nobel à Madame Kariko. Et les "vaccins Covid" de AstraZeneca, de Johnson&Johnson, ou encore SputnikV des russes ?

On ne doutera pas que la presse officielle du régime occidental fera silence sur ces circonstances qui rendent douteux le Prix Nobel de Médecine 2023.

Mais, il y a plus grave. Et les alertes du Dr Malone et de ses confrères devraient nous alerter. Le "vaccin Covid" qui vaut un Prix Nobel à Mme Kariko est un poison dont les effets adverses - et certainement pas secondaires - sont mortels, non seulement pour les vaccinés, mais pour l'espèce humaine à cause de l'immensité des mécanismes biochimiques et génétiques que le vaccin Covid déclenche dans la population humaine.

Quand les dégats de la "bombe" génétique que constitue le "vaccin Covid" seront apparents, le Prix Nobel de Médecine 2023 prendra un autre aspect.